Accompagnement de jeunes femmes victimes de violences

F.I.T. Une femme, un toit
Paris et Seine-Saint-Denis
sept. 2024
Accompagnement de jeunes femmes victimes de violences

Le LAO Pow’Her accompagne des jeunes femmes qui ont été victimes de multiples violences depuis qu’elles sont toutes petites : violences intrafamiliales, violences conjugales inceste, mariages forcés,

Le LAO Pow’Her accompagne des jeunes femmes qui ont été victimes de multiples violences depuis qu’elles sont toutes petites : violences intrafamiliales, violences conjugales inceste, mariages forcés, prostitution, mutilations sexuelles féminines…

Son équipe est pluriprofessionnelle et formée aux violences : salariées (chargée d’accueil, éducatrices spécialisées, juriste, conseillère conjugale et familiale, statisticienne, chargé de développement, directrice) et intervenantes extérieures (médecin gynécologue, intervenante en développement personnel et professionnel, psychologue).

Le LAO, c’est : un accueil de jour pensé avec et pour les plus jeunes femmes pour les accompagner à identifier les violences, les analyser, les déconstruire, reprendre confiance en soi sur des bases plus solides et prévenir de nouvelles violences grâce à l’apprentissage d’outils de repérage.

Cela passe par un accompagnement individuel, des ateliers collectifs et une démarche institutionnelle axée sur la déconstruction de la stratégie de l’agresseur (créer du lien, valoriser, croire, informer, apporter un cadre de référence).

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L’ASSOCIATION

Créé en 2019, le LAO Pow’Her (Lieu d’Accueil et d’Orientation) est un dispositif unique en France, dédié à l’accueil en journée, l’accompagnement et l’orientation des plus jeunes femmes victimes de violences sexistes et sexuelles âgées de 15 à 25 ans.

Basé à Bagnolet et accueillant toutes jeunes femmes provenant de Paris ou de Seine-Saint-Denis, il est géré par l’association FIT – Une femme, un toit, qui accueille et accompagne les jeunes femmes isolées et précaires depuis 1969.

Ce lieu a été créé suite à un paradoxe criant soulevé par différentes enquêtes : les jeunes femmes sont les premières à être victimes de violences et les dernières à solliciter les services de droit commun et les associations spécialisées. Plus de 560 jeunes femmes de 15 à 25 ans ont passé sa porte depuis 2019.

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